Tout aussi vraies que celles du Bac, j’ai entendu lors de mes missions de conseil RH de jolies perles de la bouche de responsables réticents au télétravail. C’était bien sûr avant cette période de confinement que nous ne sommes pas prêts d’oublier…
« Un jour de télétravail par semaine, c’est possible. Deux jours, c’est inenvisageable car cette salariée est manager ! Et un manager doit être présent »
« Le télétravail est incompatible avec ses tâches : qui va répondre au téléphone ? »
« Je suis d’accord pour une expérimentation du télétravail dans l’entreprise, mais hors de question que ce soit le mercredi »
« Il ne peut pas faire de télétravail car il n’y a pas d’accord dans l’entreprise. Son responsable, c’est différent, il est cadre. Il peut travailler de chez lui ».
« Avec les nouvelles technologies, c’est plus facile de mettre un carreleur en télétravail qu’une assistante de direction »
Si la crise du coronavirus a permis de casser beaucoup d’idées reçues sur le télétravail, certaines ont encore la vie dure ! En témoignent ces commentaires entendus, cette fois, par des lecteurs de My Happy Job pendant le confinement :
« Ça t’a fait deux mois ½ de vacances finalement ! »
« Tranquille le télétravail (alors qu’on prend juste un café après le déjeuner sur la terrasse ou le balcon) ! »
« Avec le télétravail tu es connecté(e) H24 : tu es obligé(e) d’être disponible tout le temps. »
J’ai pris le temps de discuter avec elle qui est par ailleurs quelqu’un de fiable et sérieux pour qu’elle comprenne l’image qu’elle a pu renvoyer à son interlocuteur. »
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